jeudi 2 avril 2009

Tout a commencé,

comme souvent, un lendemain de cuite.

La veille, on était encore 18 à prendre l'apéro dans mon 16m carré, mon frère s'attaquait à ma bouteille de Tequila de secours (périmée depuis 2003) (je m'étais bien gardé de lui signaler le pack de 8.6 de secours dissimulé au fond du frigo), une copine essayait de faire des filouteries de sexe à un copain sur le clic-clac, pendant que les autres copains écrasaient leurs pétards dans les flaques de vin Franprix qui ornaient mon carrelage.
Bref, ça sentait la fin de soirée (sauf qu'il était 22h), et moi je roupillais consciencieusement au milieu de ce joyeux bordel.


Le lendemain, à 14h du matin, je me suis réveillée tellement mal que même une gueule de bois digne de Christine Bravo n'aurait pas pu expliquer mon état. Mais, le pire, c'est que je me suis reveillée avec les joues plus gonflées que celles d'un ado à qui on aurait enlevé les dents de sagesses.

Je suis allé faire une prise de sang,
j'ai pleuré parce que j'aime pas ça,
on m'a fait une ordonnance pour des anti-inflamatoires et un antibiotique,
on m'a dit "d'ici demain ça devrait déjà aller mieux".


C'est là que tout a dérapé.



La suite de la sombre histoire de la méningite, c'est pas avant ce week-end, parce que là tout de suite, je me casse bronzer sur les plages des Landes (il fait 12 degrés et un temps de merde mais bon.)

2 commentaires:

fille facile a dit…

Ta vie est plus palpitante qu'un épisode de Lost. Je t'envie.

Sue Ellen a dit…

Moi je t'envie de connaître les paroles du dernier Sheryfa Luna par coeur!